D’abord, il y a la terre à préparer. Se battre avec. Monter les particules en spirale. Gouttes de sueur au front. Si l’argile est mal travaillée, des bulles d’air s’installent. Des creux se forment, des fractures invisibles. des incohérences, qui empêcheront la forme de devenir. Il faut y mettre le travail. Le même mouvement, répétitif, …
Continuer la lecture de « Guérir au présent, marcher avec les fantômes »